Le Fc Botosani n’a pas attendu longtemps pour dévoiler ses ambitions à son adversaire. Deux minutes après le coup d’envoi de la rencontre, les visiteurs ouvraient la marque : le milieu de terrain, Martinus Quenten se lance seul dans le couloir, efface le latéral d’un drible subtile et déclenche une lourde frappe ; la balle heurte le montant droit de Calancea, le gardien du Ceahlăul Piatra, puis atterrit entre les jambes d’Hadnagy qui n’a qu’une seule petite chose à faire, la loger dans les filets (1-0, 3e).

Durant le reste de la rencontre, des occasions ont été concédées dans un camp comme dans l’autre. Mais au tableau, le score restait inchangé. « Le match était assez difficile. Nos adversaires étaient vraiment robustes, mais on a réussi à les contenir. Heureusement que nous marquons d’entrée de jeu, parce qu’après, ils ont su resserrer les espaces et nous repousser », se souvient Michael Ngadeu-Ngadjui, averti à la 55e.

Arthur Wandji